En automne dernier, le ministère a proposé d’instaurer une pré-soutenance de thèse, qui autoriserait la soutenance ou non. Cette pré-soutenance se ferait à huis-clos, devant une commission composée par le directeur de thèse. Ainsi, l’impartialité de la com- mission et la publicité des débats ne seraient pas garantie. Surtout, ce serait compliquer la vie des doctorant·e·s, mais il faut croire que pour le ministère l’évaluation du directeur de thèse, du comité de suivi et des rapporteurs ne suffisent pas !