Les collègues internationaux hors espace Schengen doivent avoir un permis de séjour pour être en France, mais souvent celui-ci se termine en même temps que le contrat de travail, et son renouvellement est soumis à un nouveau contrat. Mais l’université, pour faire une éventuelle prolongation, demande un permis de séjour couvrant la période à venir, et c’est le serpent qui se mord la queue. Il faut garantir à chacun le droit de terminer sa thèse dans la légalité.