De très nombreux doctorant.es finissent leur thèse en étant payés par le chômage. Cela permet à l’université de faire un peu d’économies, mais prive les doctorants d’une partie de leurs droits au chômage (puisque la période d’indemnisation commence plus tôt). Cette situation peut aussi engendrer des complications pour la fin de la thèse, avec la fin de la couverture en cas d’accident du travail, de l’accès aux locaux, ou du compte informatique. Il faut que tous les doctorants aient un contrat de travail jusqu’à la fin de leur thèse, c’est-à-dire jusqu’au dépôt définitif du manuscrit.